Où trouver des champignons dans la Drôme ?

La cueillette des champignons est une activité qu’on peut faire quand on voyage dans le département de la Drome. Il est possible de la réaliser en solo, en amoureux, avec des amis ou bien en famille. En effet, ce territoire dispose de zones forestières ou arborées peuplées de champignons. On peut y trouver plusieurs espèces. Il suffit de bien s’informer au préalable concernant les lieux où on peut en dénicher et préparer les matériels nécessaires pour la cueillette. Voici plus d’informations à propos de cette activité dans la Drome.

Les lieux propices pour la cueillette de champignons

On peut commencer la cueillette dans les forêts de châtaigniers de la Drome des Collines ou du Pays de Bourdeaux pour les cèpes. Si l’on cherche des lactaires, on peut prendre le chemin des forêts de pins du Diois. Si on aime les pieds de mouton ou les craquerelles, on peut s’intégrer dans les forêts de buis des piémonts du Vercors, dans la haute vallée de la Gervanne. Si l’on opte pour la cueillette des espèces comme les girolles, les chanterelles ou les trompettes de la mort, on peut aller dans les forêts du plateau du Vercors, dans les forêts de Lente ou de Saoû. Il est aussi possible de trouver des champignons dans les petites zones boisées des parcs où se trouvent des plans d’eau ou des cours d’eau.

Ce qu’on doit savoir

Avant de partir à la chasse aux champignons, il est impératif d’avoir des informations concernant les espèces de champignons. Il s’agit de bien distinguer les espèces comestibles et celles qui sont toxiques. Pour ce faire, on n’a qu’à voir des sites internet spécialisés. Une fois que l’on sait distinguer les différentes variétés de champignons notamment celles qui sont disponibles dans le département de la Drome, on peut réunir les matériels nécessaires. On a généralement besoin d’un panier, d’un couteau et des habits adaptés à la marche dans les bois. Un chapeau, des vêtements imperméables et des bottes ou des chaussures de randonnée font l’affaire. Pour éviter de se perdre, mieux vaut aussi avoir une carte ou un GPS. À défaut de ces équipements, on doit bien s’informer auprès des locaux à propos des chemins ou des sentiers à prendre.